LES SOURCILS ET L’ÉNERGIE DU PRINTEMPS
Aujourd’hui, je me disais que peut-être vous pourriez en apprendre un peu plus sur moi et qui je suis ou comment je fonctionne. Je vais généraliser mes propos, pour qu’éventuellement, je parle, potentiellement, aussi de vous, si vous vous reconnaissez dans les descriptions qui vont suivre.
Pour cela, je vais me dévoiler, un peu, en vous partageant des bouts de moi.
À la base, comme vous, je suis née avec les attributs parfaits pour moi et pour mener ma vie à bien.
Je voudrais vous parler particulièrement de mes SOURCILS et comment ils me relient à l’énergie de la 2ème moitié du printemps, cette période YIN, plus douce et intérieure que la période YANG du printemps, plus poussive.
Enfant, j’avais de bons sourcils, relativement épais et droits, comme une ligne. Je le précise car, prochainement, je vous parlerai des changements que je leur ai fait subir et des impacts que ça a pu avoir sur ma vie. Mais je suis heureuse d’avoir finalement retrouver leur forme originelle.
PRISE DE DÉCISIONS
En MTC, « une » des caractéristiques des sourcils défini notre faculté de PRISE DE DÉCISION.
À l’origine, j’ai donc des sourcils qui me confèrent d’avoir une bonne logique, un côté pragmatique, sceptique aussi, un sens de la réflexion aigüe et donc une prise de décision basée sur la réflexion mentale, après avoir longuement pensé à toutes les options possibles et les mieux adaptées.
Je pense, je réfléchi en permanence, mais du coup, j’hésite aussi beaucoup et me tromper, faire le « mauvais » choix est source de stress, car je suis très dure envers moi-même.
Le revers de la médaille est que je peux être « influençable ». Pas de le sens où l’on peut me faire faire ce qu’on veut (car là mes bonnes grosses mâchoires carrées embarquent dans le processus), mais dans le sens où si je demande conseil à un ami et qu’il me dit : « Vraiment ? Tu es sûre… ? »
« Ah bein, non… je ne suis pas sûre, puisque je te demande conseil ! J’ai déjà pesé le pour et le contre 100 fois, mais je n’ai sans doute pas « assez réfléchi »… laisse-moi y penser encore un peu. »
Ce qui fait que je peux facilement tomber dans la procrastination, tant que je ne suis pas sûre du choix à prendre. Il m’est donc difficile, voire impossible de prendre une décision… rapidement (même si là, un autre élément vient renforcer le besoin de temps). Et oui, on est tous un « cocktail » unique !
DU CHOIX DU MENU, À LA COUPE DE CHEVEUX
Invitez-moi au resto et vous verrez combien de temps, je peux prendre pour choisir mon plat… et rappeler le serveur après avoir pris ma commande… pour changer d’avis… ce qui ne m’empêchera pas de revenir sur mon choix initial !!!
Je me doute que je saoule les gens qui sont avec moi (surtout au restaurant), mais vous n’avez pas idée de combien c’est pénible, irritant et inconfortable de ne pas arriver à choisir… et de se dire que « Ô mon dieu, si je fais le mauvais choix et que l’autre option était meilleure pour moi, plus adaptée, plus juste ? »
La plupart des décisions me sont toutes personnelles et n’engagent que moi et croyez-moi, je ne les prends pas à la légère, surtout quand il s’agit de changement de vie.
Au quotidien, je peux mettre 6 mois à me demander si je devrais passer des cheveux longs à la coupe garçonne… Mais quand ma décision est prise, elle est prise, car je sais que j’assumerai les résultats (quels qu’ils soient) ou les conséquences, puisque avec cette propension à l’indécision, je suis aussi dotée de l’autre côté de la médaille : une grande adaptabilité, flexibilité et créativité qui fait que je peux venir avec un plan A, B, C et même D, si besoin.
LA SOURCE DE NOS DÉCISIONS
Je voudrais souligner ici le fait que les gens autour de moi « peuvent penser » que je suis tout l’inverse : à savoir impulsive, car souvenez-vous, si je demande conseil à quelqu’un, je me laisse influencer, envahir de doutes et je repars dans mes réflexions. Donc, en général, je suis plutôt du genre silencieuse, discrète et puis le jour J, alors que personne n’a rien vu venir… Ta Dam !
Mais je suis tout l’inverse d’une personne spontanée et impulsive, qui eux, prennent des décisions basées sur une impulsion du coeur, sur le moment… quitte à regretter très vite de ne pas avoir pris, ne serait-ce qu’une minute pour envisager les implications. Mais chacun est parfaitement conçu et chacun à ses propres leçons à apprendre, même en terme de prise de décisions. Je ne parle pas de changer de fonctionnement, mais plutôt d’ajustement, d’équilibrage dans nos façons de faire.
NOTE : En écrivant ces anecdotes, je tiens à préciser qu’on n’étudie PAS un visage en lisant les traits du visages de manière individuelle, comme ici, seulement les sourcils. Au contraire, on recherche des patterns (des schémas en bon français), soit des combinaisons avec d’autres traits qui viennent renforcer cette caractéristique, soit qui viennent l’atténuer…
Dans mon cas, dans ma description de la pression que je me mets (naturellement et inconsciemment) à faire le BON choix, vient se greffer mon côté perfectionniste lié la notion de contrôle. Et comme je ne maîtrise pas l’issue « à l’avance », que je n’ai pas de certitude, ça me fait hésiter d’autant plus.
La beauté de la chose, c’est que toute caractéristique a son pendant opposé. Alors au final, je sais que, quel que soit le choix, je peux lâcher-prise (le revers du contrôle) et en plus, je peux me reposer sur ma flexibilité, en sachant que je retomberai toujours sur mes pieds.
Mais voilà, comme je vous le disais, dans ma trentaine, j’ai fait subir à mes sourcils des changements drastiques.
Et là, je vous entends : « Et alors, ça change quoi, c’est quoi le problème ? »
Et bien, suite au prochain épisode, très bientôt. Car je vous confirme que toute altération physique faite à votre visage à un impact au niveau émotionnel et spirituel.
À ce sujet, je vous laisse aller lire le petit TÉMOIGNAGE de Manon qui a, elle aussi, comme la majorité des femmes, changer la forme et l’épaisseur de ses sourcils et comment ça l’a affectée.
J’espère que vous en aurez autant appris sur moi que sur vous (ou vos proches), c’est quand même le but !
D’ailleurs, est-ce que vous vous êtes déjà posé la question de votre mode de prise de décisions ?
Caroline
Crédit photo : Caroline Gourgeon